
Adapté d’un conte de Thomas de Quincey.Il y avait deux gorges à trancher dans ce pensionnat que Noël avait vidé de ses éléments à l’exception de deux d’entre elles.Aprés les avoir attirées en jouant au piano ”l’invitation à la valse”, Guillaume l’Egorgeur serait certainement parvenu à ses fins si, pour son plaisir, il n’avait prolongé inutilement l’angoisse de ses futurs victimes.Fatale imprudence qui fit du loup une bête traquée qui n’eut bientôt d’autre ressource que de s’ouvrir la gorge. Ce qu’il fit comme à son habitude avec le plus grand soin.